Blogueur, je l’avais été autrefois. Au lycée, tenir un blog était presque un rite social en soi. Mon blog, en l’occurrence, n’avait rien d’un journal intime en ligne. Il n’avait rien de commun avec Café Powell. Mais il a connu à l’époque un joli succès sur la toile. C’était ma première incursion dans la blogosphère.
Mon domaine à moi, c’est la communication. Je m’intéresse particulièrement aux médias, aux réseaux sociaux, à la culture sur le web. Dans le cadre de mes études en communication, j’ai tout d’abord contribué à un blog politique sur les présidentiables en 2012. Puis, j’ai ouvert mon propre espace, où je parlais de publicité, de community management et de marketing. Quand Emily m’a parlé de ce qui allait devenir Café Powell, j’ai eu envie de me lancer dans l’aventure à 100%. Je n’ai pas tardé à fermer mon blog pour pouvoir prendre pleinement en charge mon rôle de co-rédacteur en chef.
S’il revient majoritairement à Emily de déterminer la ligne éditoriale du site, j’ai pris en main tout le référencement et la communication. Facebook et Twitter sont devenus notamment mon terrain de jeu. Community manager de formation, je me suis lancé un véritable défi avec la communication web du site. Trouver sa place au sein de la communauté gigantesque des sites culturels, en 2012, à l’heure où ceux-ci pullulaient déjà, n’avait rien de simple. Or, l’on sait que les réseaux sociaux constituent un relais fabuleux, pour partager au sens large.
Aujourd’hui, je suis ravi d’avoir contribué à asseoir ce site, qui est devenu de plus en plus important à mes yeux. Nous fourmillons toujours de mille et unes idées pour l’améliorer, être à la pointe de l’actualité. C’est pour moi une grande satisfaction que de savoir que nous sommes parvenus à un rythme de croisière d’à peu près un article quotidien, que nous parlons de choses diverses et variées capables de toucher des centaines de lecteurs par jour, et que nous suivons l’actualité culturelle, particulièrement littéraire, de près. Je suis très fier de pouvoir travailler de concert avec les maisons d’édition et les sociétés de production. Ils ont su nous accorder leur confiance dès le début, et de cela, je leur suis particulièrement reconnaissant.
Enfin, je terminerai en remerciant chaleureusement nos rédacteurs qui ont su contribuer à faire de ces deux années de Café Powell un vrai bonheur. Et bien sûr, merci à vous, lecteurs, qui nous suivez, nous lisez et nous soutenez. Nous sommes parés pour une nouvelle année de découvertes et de passion, que nous partagerons avec vous !
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