Dur de résumer des poèmes, n’est-ce-pas? Ces poèmes s’inscrivent dans un mouvement littéraire, Harlem Renaissance. Les thèmes sont l’Afrique, la liberté, la discrimination avec, notamment, les lois Jim Crow. Le tout écrit dans une langue très musicale, très rythmée.
Autant vous avouer que les poèmes, ce n’est pas vraiment ma tasse de thé. En terminale, je devais lire « Les Fleurs du mal » et « Alcools« , et finalement, je n’ai lu que des passages de Baudelaire. Bref. J’ai cependant lu tout ce recueil, et heureusement, car c’est dessus qu’est tombé le test de ce matin. Bon. Certains poèmes m’ont touché. « The train of freedom » ou « The Negro Mother », par exemple. Quant à certains, j’hésite à les taxer de poèmes, quand il ne s’agit que de deux ou trois lignes. La poésie, pour moi, nécessite du travail, du style, un véritable travail stylistique, quoi. Dans la plupart des poèmes, les textes semblent plus écrits comme ça, quelques mots jetés sur une feuille sans vraiment réfléchir, plutôt que travaillés. Comme si l’auteur se préoccupait plus du fond que de la forme. Les fautes de grammaire sont probablement voulues.
Bref, ce qui m’a vraiment plu, c’est l’implication de l’auteur, qui revendique son identité afro-américaine. « I, too, sing America ».
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