En juillet, j’ai lu 9 livres :

1. Pour une fois, David Nicholls (Café Powell)
2. Ce qu’il restera de nous, Mark Gartside (Café Powell)
3. Fermé pour cause d’apocalypse, Jean-Claude Bologne (Enlivrons-nous)
4. Les Déconnectés, Neal Shusterman
5. Le Maudit de la belle époque, Catherine Guigon (Enlivrons-nous)
6. Les Femmes de Brewster place, Gloria Naylor (Café Powell)
7. Le Journal de Carrie, Candace Bushnell (Enlivrons-nous)
8. Summer and the city, Candace Bushnell
9. Paradis avant liquidation, Julien Blanc-Gras

En août, je compte lire :

1. Transatlantic, Colum McCann
2. Je suis interdite, Anouk Markovits
3. Dis-leur qu’ils ne sont que cadavres, Jordi Soler
4. Canada, Richard Ford
5. Narcopolis, Jeet Thayil
6. Effacée, Teri Terry
7. Triburbia, Karl Taro Greenfeld

Challenge 1% de la rentrée littéraire

Je compte bien participer au challenge de Hérisson, « 1% de la rentrée littéraire », ce qui nécessite de lire six livres de la rentrée littéraire, voire plus. Ma pile à lire du mois d’août fera bien l’affaire…

Vacances

Je serai absente dix jours début août et pour ainsi dire injoignable car je pars en amoureux à La Nouvelle Orléans. Promis, je posterai quelques photos en rentrant. Des articles sont également prévus sur Café Powell, qui mettra justement New Orleans à l’honneur en août.

En ce qui concerne ma PAL spéciale vol transatlantique, le choix est rude. Je profite généralement de mon éloignement avec Paris pour prendre avec moi des livres que je n’ai pas le temps de lire en France, de préférence des pavés. L’année passée, j’étais ainsi partie avec Moi, Charlotte Simmons, de Tom Wolfe, qui avait fait mon bonheur à San Francisco. En 2011, ne partant que cinq jours, j’avais préféré des livres moins épais, comme le très beau Transgression d’Uzma Aslam Khan. Et en 2010, Un monde sans fin, de Ken Follett avait duré le temps de quatre jours à New York et d’une semaine à Marrakech (cet été avait été faste pour les voyages !). Mon obsession du pavé en vacances est finalement assez étonnante, étant donné que j’ai rarement envie de lire pendant les long-courriers (pour aller à San Francisco, je m’étais enfilée trois films, dont Retour vers le futur, mais ce n’est pas une excuse, et j’avais terminé le dernier Maryse Condé, déjà sérieusement entamé avant de monter dans l’avion. Ce vol fut un gâchis finalement quand on songe que j’aurais pu employer ces dix heures à lire le Tom Wolfe directement, surtout que ce fut finalement un coup de cœur)

Cette année, j’ai un temps songé à prendre le premier tome des chroniques des sorcières d’Anne Rice (Nouvelle Orléans oblige), mais mon édition est écrite si petit que ça m’a fatiguée par avance. Je pense donc embarquer, outre Transatlantic, Je suis interdite et probablement Triburbia, Le Vaisseau ardent de Jean-Claude Marguerite en folio (1548 pages tout de même) ou Cloud atlas de David Mitchell (seulement 714 pages !). Le choix se fera sûrement au dernier moment, après quelques feuilletages. Cinq livres me paraissent amplement suffisant pour dix jours, car si je devrai faire face à deux vols transatlantiques (Paris-Detroit et Atlanta-Paris) et deux vols intérieurs, avec forcément, entre les deux, des escales, je ne pense pas lire beaucoup entre l’aller et le retour. En vacances, je ne lis que le soir, avant de dormir, dans ma chambre d’hôtel, quand je ne suis pas occupée à feuilleter mon guide du routard ou à regarder CNN ou les Simpson. Bref. Je vous laisse sur la bannière de Café Powell, spéciale La Nouvelle Orléans.